Source à Lipomey
La rivière prend sa source à Léognan au lieu-dit Lipomey, près de Saucats.
La rivière prend sa source à Léognan au lieu-dit Lipomey, près de Saucats.
Ce pont a été construit pour relier les villages des Bougès et Mignoy sur la rive gauche et de Bonois sur la rive droite.
En 2017 Bernard Magrez achète le château Le Sartre dont la renommée est connue depuis le 19ème siècle.
Le château de Fieuzal est connu depuis le XVIe siècle.
Le château de France est situé sur un coteau de la rive droite de l’Eau Blanche.
On peut découvrir une multitude de coquillages fossilisés sur les rives de la rivière.
Au début du 19e siècle, la famille Desfourniels crée une société de vénerie et un équipage de chiens de race nouvelle.
Ce domaine s’étend sur la rive droite de l’Eau Blanche.
Auparavant connu sous le nom de « La Grande Gravière », Pierre Malartic, qui possédait les domaines de Naudet et du Coquillat l’achète en 1803.
Ce moulin transformé en demeure de charme est détruit par un incendie et il n’en reste aujourd’hui que des ruines.
Ce pont permet, par le chemin Saint Martin, de rejoindre la coulée verte créée par la mairie de Léognan.
Ce moulin est connu depuis le 17 siècle. Il a été utilisé comme moulin à céréales, blancherie, fabrique de carton, puis racheté par la mairie de Léognan.
Le pont de Naudet surplombe l’Eau Blanche au niveau de la mairie de Léognan.
Le domaine de Naudet se situait à l'emplacement de la mairie de Léognan et de son parc. Ce bâtiment ancien, annexe de la mairie en faisait partie.
Les ruines de ce moulin construit au début du 18ème siècle, sont visibles en suivant la promenade qui longe l'eau Blanche.
Le moulin de Laroudet a connu une importante activité industrielle au 19e siècle.
Continuant son cheminement, la rivière aborde les prairies de la Manufacture ou domaine de Bagatelle.
La famille de Guilloche bien connue en bordelais dès le 14ème siècle est à l’origine de la création du vignoble de La Louvière
Ce moulin a d’abord fonctionné comme moulin à farine puis fut utilisé pour des activités diverses et n’existe plus aujourd’hui.
Le plus ancien moulin du domaine de La Louvière était déjà utilisé comme moulin à farine par les Révérends Pères Chartreux propriétaires de La Louvière jusqu’en 1791.
La vigne est présente au domaine de Grandmaison dès le XVIIIe siècle.
Le château Hannetot jouxte le domaine de Grandmaison. Dès le début du XVIIIe siècle, cette propriété appelée Hantot est constituée par les remembrements précédant la Révolution de 1789.
Le moulin de Renaud appelé antérieurement de Ram de Maniban, est utilisé jusqu’à la fin du 19e siècle et appartient aujourd’hui au château Carbonnieux.
Sur la rive droite de l’Eau Blanche, le terroir de Carbonnieux s’étend depuis la croupe du coteau et rayonne tout autour en suivant les pentes, sur une surface actuelle de 90 ha.
Le premier témoignage de son existence remonte au 14e siècle. Ce moulin appartient au château Carbonnieux et a été utilisé jusqu'au début du 20e siècle.
Le moulin de Pruet situé chemin de Martillac se dissimule derrière le saule pleureur qui s’épanouit sur cet îlot baigné d’humidité.
Le château Lagrâce devenu aujourd'hui l’exploitation viticole connue sous le nom de Château Limbourg.
Ce château est situé sur un coteau de la rive droite de l’Eau Blanche. Son vignoble s’étire jusqu’à la rivière et vers l’est.
Une grande bâtisse en pierre qui l’enjambe l'Eau Blanche. On trouve trace de ce moulin dès 1607 et il est utilisé jusqu’au début du 20e siècle.
Dès 1273 la maison noble Demons est mentionnée, elle sera nommée plus tard du « Pont de Langon ».
C’est un moulin à blé qui fut acquis par divers propriétaires jusqu’à la fin du XIXe siècle quand la famille Bernardy de Sigoyer en devient propriétaire.
Au printemps 1661 on retrouve la trace d’une maison de pierres couverte de tuiles sur le domaine proche du moulin de Bardins.
Ce moulin a d’abord servi à moudre des céréales. Plus tard il est transformé en fabrique du noir animal et ultérieurement en fabrique de limes.
Utilisé longtemps comme tannerie, il brûle en 1903. En 1910 sur une partie des locaux incendiés est établi une usine pour le délainage de peaux de moutons.
Sur ce plan datant du milieu du 18ème siècle, on constate l’existence de plusieurs ports : port de Mme Dalbessard, port du Roy et port de La Mothe.
Les portes servent à empêcher l'eau de la Garonne de remonter dans l'estey.
Il y a maintenant cinq siècles, l’ordre des religieuses des Annonciades possédait les terres de Guiteronde.
Auparavant appelée île du Soleil, puis île des Juifs ce n'est plus une île aujourd'hui…
C’est la fin du voyage pour l'Eau Blanche…